In Genève waren spektakels in principe verboden. Toch maakte de stad uitzonderingen. In ruil voor toestemming de olifant te vertonen moet de eigenaar 100 gulden voor het ziekenhuis betalen. Interessant is ook dat de stad bepaalde wat de eigenaar mocht vragen per persoon (1).
1) “Mardi 30 Decembre 1651. Elephant. Monsieur le premier syndic represente qu’un certain qui conduit un elephant luy a demandé permission de le faire voir & de luy prescrire ce qu’il prandra par personne[.] Arreste qu’on luy permet de le faire voir & de prendre quatre sols pour chaque personne en baillant par luy à l’hospital cent florins.” Uit: Genève, Archives d’Etat (AEG), Registre du Conseil (Procès verbaux des séances du Petit Conseil, Conseil ordinaire ou Conseil des XXV), 30 december 1651, p. 335. Met dank aan Michel Porret voor de precieze verwijzing. Literatuur: J. Picot, Historie de Genève 3 (Genève 1811), p. 145 : “(…) la même année [1651] les curieux purent voir un elephant pour quatre sous (…)”; H. Denkiger-Rod, Histoire populaire de Canton de Genève, 1905, p. 280: “En 1651, ce fut un éléphant, qu’on montra pour quatre sous (…)” en M. Porret, L’ombre du diable: Michée Chauderon, dernière sorcière exécutée à Genève (1652), Chêne-Bourg 2009, p. 137.